La filière de la sécurité privée semble connue : profession réglementée, carte professionnelle pour les agents, 11 500 entreprises (dont 8 500 autoentrepreneurs), 180 000 agents, etc.
Pourtant, ses données fondamentales, notamment économiques, sont totalement ignorées et méconnues des acteurs, notamment publics, qui ont la charge d’en définir la régulation.
Aux arguments politiques, le GES souhaite ramener la lumière sur l’économie réelle de la sécurité privée. Avec toujours la même optique : l’Etat veut-il voir la sécurité privée s’effondrer à la veille des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 ?
Cette étude vise à rétablir une image réelle, concrète, étayée du secteur économique de la sécurité privée, et donc de ses failles. Il s’agit d’un secteur en atomisation et déstructuration constante et croissante, au rebours des attentes que les pouvoirs publics placent en lui.
Pour ces raisons, le GES demande aux pouvoirs publics et aux Parlementaires :
Ces mesures, déjà validées par une analyse juridique, sont également étayées économiquement par un diagnostic de la situation actuelle (1) et par une étude d’impact (2).
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